• Son blog : http://ghislaine53.eklablog.com/atelier-no-19-recap-du-no-18-les-homophones-a127547722

    Mots à placer : Abus – bouquet – carton – charme - force – mépris – ombre – puissance – refuge – trouble

    L'atelier 19 de Ghislaine

    Il avait été victime de tous les abus possibles et imaginables pendant son incarcération. Mais le bouquet c’était le jour où son père l’avait jeté à la rue parce que le pourri qui l’avait envoyé en taule avait traité son fils de « pédé ». Il avait dit à son père qu’il lui avait cassé la figure parce qu’il avait refusé ses avances et son père l'avait cru.

    Tout avait commencé au lycée par un carton rouge au cours d’une partie de football qu’il n’avait jamais terminée.

    Ce type faisait partie de l’équipe et il lui avait fait un méchant tacle. Sous le coup de la douleur, il lui avait collé un coup de poing qui lui avait valu une sortie de terrain. L’autre connard avait une belle gueule et un charme fou. Il était la coqueluche de toutes les minettes du lycée. Malheureusement, il usait aussi de ce talent sur les profs. L’entraîneur n’avait rien vu, mais même s’il l’avait vu, il aurait encore dit que c’était de sa faute à lui.

    La force de cet enfoiré c’était de faire ses coups en douce. Il le regardait depuis avec mépris à chaque fois que ce salaud croisait sa route. Visiblement, l'autre n’en avait rien à faire.

    Ce jour-là, il avait poussé le bouchon un peu trop loin. Il avait vu son ombre avant de recevoir son coup dans le dos, car ce lâche n’avait pas osé l’affronter de face. Seulement cette fois, il n’y avait eu personne pour l’arrêter. La puissance qu’il avait mise dans ses poings avait littéralement fait exploser la gueule de cette pourriture. Ce n’est que lorsqu’il avait cessé de se défendre que Mathias avait compris l’étendue de sa bêtise.

    L’abruti n’avait plus de figure, des dents cassées, un œil plein de sang, et le nez cassé. Il avait cherché refuge chez son pote Loïc, mais il avait refusé de l’aider ne voulant surtout pas se mouiller. L’autre avait porté plainte et il avait écopé d’une peine de deux ans de prison avec de vraies brutes.

    Aujourd’hui, il était devenu un animal féroce. Ces deux années avaient failli le rendre fou, mais il était enfin libre. Son trouble ne venait pas de sa liberté retrouvée, mais plutôt de l’envie qu’il avait de tuer l’enfoiré. Combien de temps réussirait-il à ne pas se venger. Le reste de sa vie en dépendait.

     

     

    Maridan 1/12/2016

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  • Atelier N° 5

    Photo Agniezka Lorek https://www.facebook.com/A.M.LorekDimension/

    A partir de cette photo, ou des mots suivants écire un texte sur Noël :

    Fêtes - Joie - désespoir - illusion - passion - feu - cheminée - remord - subtil - éphémère

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  • Illustration :  Lee Jeffries http://leejeffries.500px.com/

    Tandis que dix pour cent des hommes se gavent et écrasent le reste du monde. Des malheureux par millions crèvent de faim, de froid ou des affres de la guerre. Où sont passées les lumières de la France ? Depuis quand ne brûlent-elles plus ? Pourquoi ne voyons-nous pas où veulent nous conduire les lauréats de l’E.N.A. engoncés dans leurs petits schémas étriqués de la mondialisation ?

    Lee Jeffries

     

    Alors, si comme moi, les bobards des politiques ne vous atteignent plus, si comme moi la misère qui augmente chaque jour dans notre propre pays vous révulse, si vous ne pensez pas comme eux que c’est la faute des « étrangers », alors mobilisez-vous !

     

    Tendez un bout de pain, offrez la chaleur d’un sourire, aidez-les à trouver un toit, ou bien si vous n’avez pas le temps, pas cette force, offrez un peu d’argent aux associations qui se mobilisent pour eux. Cinq euros, dix euros, cela ne changera pas grand-chose pour vous, mais pour eux ce peut-être ce qui fera la différence.

     

    Voici mon vœu pour ces fêtes de fin d’année.

     

     

    Maridan 1/12/2016

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  • Coucou les amies. Hier j'ai reçu un nouveau défi qui me proposait d'écrire la suite d'une phrase du livre "toute la lumière que nous ne pouvons voir" d'Anthony Doerr. Malheureusementfrown, mon email l'a avalé. Comme j'avais un atelier d'écriture à la maison, j'en ai profité pour traiter ce sujet et il a donné lieu à de très jolis textes. J'aimerais faire de la publicité à celle qui me l'a transmis. Si vous aussi vous l'avez eu, pouvez-vous me transmettre ses coordonnées. Par avance, je vous en remercie. Merci à toutes et gros bisouscool

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  • Son blog : http://lagentillerebelle1.eklablog.com/

    Le défi de la gentille rebelle

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  • 1 - écrire un texte à partir des mots suivants :

    Liberté - évasion - prison - amuser - marcher - singulière - imprimer - enregistrer - lampe - pantalon

    2 - écrire la suite de cet incipit :

    Il avançait seul et hirsute au coeur de la nuit noire...

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  • Le petit colibri a du faire un grand détour pour réparer ses erreurs. Il est souvent inévitable d’être confronté à ce genre de problème quand on fait des bêtises. Bien que très fatigué, à son arrivée chez la fée Capucine, il reste serein, car dans tout le bois joli, on connaît le grand cœur de cette jolie fée.

    Avec patience, elle écoute le petit oiseau qui lui explique pourquoi il est venu lui demander son aide. Sa prière est si pleine de remords, qu’elle n’a pas envie de le punir. Elle préfère essayer de comprendre.

    Il lui raconte alors, sa lutte avec ce vilain chat qui ne pensait qu’à le mordre et comment il avait bien cru perdre ce combat. C’est pour cela qu’il s’était caché dans le nid de son ami et qu’il avait cassé l’un de ses œufs. Le chat était vraiment décidé à lui tordre le cou et tous les arbres dans lesquels  il avait volé n’avaient pu stopper sa progression. Il avait choisi l’arbre de son ami, car il était très haut et surtout de nombreux arbres s’étaient emmêlés à lui et tous étaient très escarpés même pour un vilain matou.

    Son courage lui avait valu la vie sauve, mais son ami était furieux et refusait de l’écouter. Après avoir entendu toute l’histoire, la fée Capucine répara l’œuf tombé du nid et le lui rendit. Aussitôt, il le ramena à son voisin et depuis, ils sont redevenus les meilleurs amis du monde.

    Le petit colibri chante tous les jours, depuis cette réconciliation, à la gloire de la gentille fée Capucine.

    Maridan 24/11/2016

     

    L'atelier de la fée Capucine N° 9 - http://ghislaine53.eklablog.com/l-atelier-no-9-chez-fee-capucine-a127583454

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  • illustration :  http://leprasmel.eklablog.com/la-tete-dans-les-etoiles-a70195541

     

    Sur la rive, j’avais découvert ce matin-là, une jolie petite fée que la température extérieure, glaciale,  avait totalement engourdie. Quelle aventure avait conduit cette jolie créature au bord de ce lac, je l’ignorais ! C’est ma flânerie matinale qui m’avait menée jusque là. J’avais suivi un joli furet que j’avais vu se glisser sous un buisson, puis onduler entre les joncs qui bordaient ce joli point d’eau.

     

    Il avait disparu dès que j’avais saisi dans mes mains la jolie fée qui frissonnait. Devant ses yeux apeurés, je lui avais chuchoté que je ne comptais pas jouer avec elle, juste la réchauffer un peu. Rassurée, elle s’était assoupie. Je l’avais glissée au fond de ma poche et j’avais posé sur son minuscule corps ma pochette de soie que je conservais dans mon étui à lunettes.

     

    Rentrée chez moi, je lui avais confectionné un petit lit de coton avec un mouchoir par-dessus et j’avais posé délicatement ma petite amie sur ce lit de fortune. Par chance, je ne l’avais pas réveillée. Au matin, je l’avais vu s’élever et venir me saluer avant de disparaître. J’étais triste de ne pas avoir pu parler avec elle.

     

    Deux jours plus tard, mon matou semblait malade. Depuis la veille il était nauséeux et ne mangeait plus rien. Je l’avais conduit chez le vétérinaire, qui l’avait soigné, mais il n’allait pas mieux et je commençais à m’inquiéter.

     

    Soudain la petite fée apparut devant moi. D’une main légère, elle caressa mon matou qui en ronronna de plaisir. En cinq minutes, il avait retrouvé son entrain et son espièglerie. Ravie, je sortis dans le jardin pour les suivre. À compter de ce jour, je ne fis plus jamais de promenade solitaire, ces deux là, me suivent encore aujourd’hui.

     

    Maridan 21/11/2016

     

    Je dois d'avoir écrit ce conte au  https://colettedc.wordpress.com/2016/11/19/atelier-chez-arlette-n6/

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  • Atelier N° 7 de la fée Capucine : http://feecapucine.eklablog.com/atelier-fee-capucine-n-7-

    a127233116

    Le merle chanteur

     

    Je m’étais absorbée dans la contemplation d’un plat de spaghettis. J’ignore ce qui m’avait poussée à y ajouter du sucre, mais quand j’avais vu la tête de mon frère qui me regardait faire, cela m’avait follement amusée.

    Pour quelle raison avais-je fait cela, aujourd’hui encore, je l’ignore. Mais je l’avais fait. Quand quelques années plus tard, mon frère me rappela ce souvenir, je ne sus que lui dire.

    À cette époque tout me semblait un obstacle insurmontable. J’avais même peur de mon ombre, c’est dire ! De nature inquiète, je me faisais du souci pour rien. Mon pire souvenir est celui d’un jour où je m’étais perdu dans un labyrinthe dont je ne trouvai jamais la sortie.

    Sans doute ne me croirez-vous pas, mais c’est un merle qui me montra la sortie, car j’avais réceptionné son nid qui était tombé de l’arbre suite à un vilain coup de vent. Je regardais ses petits lorsque l’oiseau se posa sur mon épaule.

    Je lui demandais où je devais poser ses petits, et il me conduisit hors de l’horrible labyrinthe jusqu’à un grand arbre. Sur une branche haute, je vis un joli pot de terre qui était vide, mais suffisamment large pour recueillir le petit nid. Je déposai délicatement la petite famille et le merle quitta mon épaule. Tandis que je rentrai l’âme plus légère, l’oiseau accompagna mon pas de quelques jolies notes. Et depuis, à chaque fois que j’entends un merle chanter, je me souviens que l’un d’eux mit fin à la plus grande angoisse de ma vie.

     

    Maridan 18/11/2016

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  • Tant qu'on a que l'amour

     

    Aujourd’hui, vous avez choisi d’unir vos destinées devant vos parents et amis. À une époque où tout va trop vite, vous, vous avez pris la décision de faire une pause et de vous engager sur la durée.

    Le mariage, pour beaucoup de gens, ça ne veut plus dire grand-chose. Ils n’y voient qu’un acte civil, une obligation matérielle, mais pas vous. Car vous, vous avez la chance de vivre un grand amour et cela, peu de gens y parviennent.

    Un mariage, bien loin des contingences matérielles, c’est un engagement pour la vie. C’est dire au monde que ce qui vous unit va bien au-delà des mots.

    C’est la fusion de vos deux cœurs en un seul… Des aspirations communes, ou plutôt… Des respirations communes. Ce n’est pas l’annihilation de votre propre personnalité, bien au contraire, c’est sa valorisation au cœur de vos échanges.

    C’est surtout l’assurance de rester vous-même, parce que celui que vous avez choisi pour ce voyage s’est engagé à vous aimer tel que vous êtes et qu’il sait QUI vous êtes. Sans fard, sans artifice.

    L’amour est la seule religion qui ne demande rien, n’exige rien, ne contraint à rien. C’est juste une merveilleuse force de vie inépuisable et qui nous pousse à tout accomplir.

    Aimez-vous l’un l’autre, aimez ceux qui vous sont proches, mais pas seulement. Laissez ce sentiment qui vibre en vous aller au-delà de vos murs. Voyez le monde et son humanité à travers le prisme du sentiment qui vous lie et vous resterez sur la voie du cœur.

    L’amour ne s’étiole pas, ne se divise pas. Il se multiplie sans fin. Plus vous en distribuerez, plus vous en recevrez. C’est la seule chose au monde qui vaille qu’on lutte pour elle.

    Antoine de Saint Exupéry écrivait « aimer c’est regarder ensemble dans la même direction. » Cela n’empêche pas d’avoir des idées différentes, d’emprunter des chemins divergents pour atteindre cet objectif.

    « Aimer à perdre la raison, aimer à n’en savoir que dire… » chantait Jean Ferrat en d’autres temps. C’est vrai qu’il y a tellement de belles façons de se le dire. Bien des poètes s’y sont essayés. L’amour a sa propre saveur, sa propre valeur et elle est unique pour chacun d’entre nous.

    Jacques Brel chantait : « tant qu’on a que l’amour à s’offrir en partage …pour unique raison… pour unique secours… alors on a dans nos mains le monde entier… »

    Et c’est vrai qu’avec l’amour vous détenez la plus grande des richesses. Alors aimez-vous intensément, passionnément, follement. N’écoutez que votre cœur et vous verrez que dans cinquante ans et même plus, votre flamme brûlera encore.

    Mais avant d’en arriver là, vous verrez que l’amour porte des fruits et que ceux-ci se multiplient à leur tour. Vous découvrirez le plaisir d’être parents. Vous aurez alors la  joie d’aimer et d’éduquer vos marmots qui, arrivés à l’âge de raison, quatorze ou quinze ans, si, si, préparez-vous, il faut vous y attendre, vous diront d’un air assuré et bravache :

    «  Oh la rem, oh le rep vous êtes graves, vous entravez que couic. »

     

    Alors bonne route à vous deux et tous nos vœux de bonheur vous accompagnent.

    Maridan 19/10/2016

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  • Ils se sont dit oui, pour mon plus grand plaisir

    Mon gendre, ma petite belle fille et mes deux enfants. Un grand moment de bonheur.

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  • Challenge d'Arlette    ==►A vos plumes

    mots à caser :

    boucan  Grisaille... morose... encore..cuisine... couette...apprécier... direction..détendre..... affronter... panne..grand-peine... Tellement... raviver... boire...

    Plus de mauvaises nouvelles

    Dans ce monde plein de boucan, de mauvaises nouvelles, de grisaille, j’ai vu poindre la lumière. Par un matin morose, j’ai décidé de ne plus m’en laisser conter, encore et encore, par ces radios, ces télévisions aptes à nous endoctriner. Assise dans ma cuisine, emmitouflée dans une jolie couette rose, j’ai pu apprécier, le bonheur simple de regarder, par ma fenêtre, mon jardin fleuri dans toutes les directions. Je me suis détendue en buvant mon café, ravie de ne pas avoir à affronter les bêtises journalières des médias. La panne de ma chaudière que j’avais enfin pu remettre en route, avec grand-peine, me comblait. Néanmoins, il me fallait attendre que la pièce retrouve un peu de chaleur tellement l’humidité avait imprégnée la maison. Afin de raviver le rose sur mes joues, j’ai décidé de boire un petit verre de rhum. L’alcool, je ne connais rien de mieux pour faire circuler le sang.

     Afficher l'image d'origine

     

    Maridan 14/11/2016

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  • Une silhouette diaphane, une pâleur spectrale, perdue au cœur de ce paysage de limbes, elle avance ombre désincarnée. Ce matin, la vision de son visage dans son miroir l’a ébranlée. Un instant, elle s’est crue morte et en route pour l’au-delà. Pourtant, jamais, elle n’a songé  à abandonner. Elle est plutôt du genre à saisir la vie. La cause en est simple, elle porte l’enfant de l’ordure.

     

    L’innocence qui palpite en elle lui demande une chance d’avoir sa propre destinée. Aujourd’hui, le froid est intense. Il fait circuler le sang dans ses veines.

     

    Rentrée chez elle, le feu palpite dans l’âtre. Lentement, elle sent ses muscles se détendre et la chaleur la soulage de ses tensions. Elle repasse alors devant le miroir. Son reflet a changé. Ses joues sont bien rouges et dans ses yeux, la flamme s’est rallumée. Oui cet enfant vivra et elle lui fera une belle vie.

     

    13/10/2016

     

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  • Etats d'âme

    Ils avancent en marée silencieuse

    Devant les bourreaux qui bousculent

    Femmes et enfants. Plus de pensées pieuses.

    Dieu les a abandonnés, il recule.

     

    Mais qui peut encore croire en lui ?

    Devant le père, le frère assassin.

    Quand un rat a plus de prix qu’une vie

    Pour les despotes au détour du chemin

     

    Je ne vois que des malheureux

    Qui aspirent à vivre libres

    Quand on nous les vend tortueux

    Qui nous volent nos vivres

     

    À longueur d’antenne

    On nous offre de la haine

    Quand nous n’aspirons qu’à l’amour

    À la fraternité pour toujours

     

    Éteignons nos écrans sournois

    Ouvrons nos cœurs et nos bras

    Autour d’eux, c’est la misère que je vois

    Pour les aider, je n’ai que ma voix

     

    Associez-vous à mon chant,

    Il parle de vivre ensemble

    Il offre un avenir plus grand

    Pour nos cœurs qui tremblent

     

    Tendons-leur nos mains

    Partageons avec eux un festin

    C’est l’assurance de beaux lendemains

    Si nous savons redevenir humains.

     

     

    Maridan 8/11/2016

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  • 1ER SUJET /

    Ronde de mots tirés des contes de l'Egypte ancienne :

    malfaiteur - étable - frère - Râ (dieu soleil) - crocodiles - charpentiers - beaucoup - palais -  favorite - coffre

    2EME SUJET :

    Ecrire un poème avec les rimes suivantes, selon la forme qui vous convient le mieux, dans l'ordre que vous voulez :

    embaume - môme - dieu - cieux - flamme - dame - sérieux - yeux - peu - veux - repu - ému - songe - ronge - passer - embrasser - nuit - vie.

    Bonne écriture à tous,

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  • Bienvenue à vous qui passez par ici. Passionnée d'art, de littérature et de toutes les formes de créations, j'aime à partager mes idées avec les gens. Si mon blog sait vous séduire, faites comme chez vous.

     

    N'hésitez pas à me faire part de vos observations, j'en tiendrai compte.

     

    Bonne journée à vous

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  • Quekques papillons pour vos créations

    Quekques papillons pour vos créations

    Quekques papillons pour vos créations

    Quekques papillons pour vos créations

    Quekques papillons pour vos créations

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  • Ronde de mots tirée de l’excellent roman de Michel Bussi "Maman a tort

    fantômes - souvenirs - raison - trembler - glisser - aimer - inspiration - minute - gigantesque - lieutenant

    Vous avez dix jours pour répondre à ce nouveau défi. Vous pouvez conjuguer les verbes et mettre les autres mots au singulier ou au pluriel. Votre texte aura la forme qui vous convient le mieux.

     

    Passez une bonne soirée

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  • Le défi de la fée Capucine ; http://feecapucine.eklablog.com/

    Ondine

    Ondine est lasse, ses amies les fées sont parties pour le solstice d’été et elle se retrouve seule au bord du lac. Comme le soleil chauffe fort, elle plonge avec délice dans l’eau limpide. Lorsqu’elle remonte à la surface, elle aperçoit un castor derrière un roseau qui l’observe avec attention.

     

    -          Viens me voir petit ami, je ne te veux pas de mal.

     

    Elle lui tend  sa main fine et le curieux animal glisse vers elle. Quand il comprend qu’elle ne lui fera pas de mal, il se frotte à elle, et la chatouille avec ses grandes moustaches. Elle éclate de rire et le castor s’enfuit.

     

    -          Allons, n’aie pas peur, je rigole. Ce n’est pas la première fois que tu m’entends rire ?

     

    Elle a beau le rassurer, l’animal préfère disparaître et une fois de plus, elle se retrouve seule. À ce moment-là, un lutin sort de derrière le chêne. Quand elle l’appelle, il s’évapore. Où diable est-il passé ? Fâchée, elle plonge à nouveau.

     

    Soudain, une goutte de pluie tombe sur son visage. Zut ! Voilà le temps qui se gâte. Elle plonge au fond du lac et rejoint ses amis les poissons.

     

    -          Il fait un temps à rester chez soi, mes amis. Même Sophie, la fée des fleurs qui était rentrée plus tôt que prévu,  a failli se noyer dans une flaque d’eau. Heureusement, le petit lutin que j’ai vu disparaître est passé par là, et il l’a aidée à se sécher. Du coup ce soir, elle nous offre un bon dîner de fleurs. J’espère que la pluie aura cessé.

     

    Et c’est ainsi que la compagnie des fées, Ondine et tous leurs amis des bois se sont retrouvés pour faire la fête et célébrer la fin de la pluie.

     

     

    Maridan 28/10/2016

     

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