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Atelier 81 chez Ghislaine
Au loin, il voyait une issue, mais était-ce la bonne ? Il n’aurait du le dire. Lorsqu’il y arriva, la rue débouchait sur une vaste place cernée d’ombres menaçantes. Ce n’était pas le côté sombre des abords qui le faisait frissonner, non, c’était la nudité lugubre du paysage sur lequel elle débouchait. Il tenta de chasser ses craintes et entreprit de traverser le pré à découvert. Il avait beau se raisonner, se dire qu’il n’était plus suivi, il avait un mal fou à avancer ainsi dans la nuit. Lorsqu’il arriva à la route, il arrêta une voiture qui le ramena chez ses amis. Ce soir, il avait tué un homme, mais désormais, plus rien ne menaçait sa famille.
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Commentaires
Hé bien Marie, ton image illustre parfaitement ton texte
Elle fait peur cette image, je ne serai pas tranquille si j'étais à sa place.
Par contre j'adore la rue Pavée........
Merci Marie car je te sais assez occupée ........
Donne moi des nouvelles de ton petit monde ....
Je t'embrasse avec le coeur mon Amie........
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Jeudi 13 Décembre 2018 à 19:44
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je suis d'accord avec Ghislaine quelle image sombre...
le texte est superbe
bravo
plein de gros bisous