• Joyeux anniversaire, à la merveilleuse fille de notre amie Ghislaine. Que ceux qui t’aiment te couvrent de fleurs, de pensées tendres et de mots d’amour afin de te souhaiter une année pleine de joies et de tendresse.

     

    Pour ma part, chère Séverine, permets-moi de t’offrir cette modeste illustration. Gros bisous à toi et à ta chère maman

    Joyeux anniversaire Séverine

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  •  

     

    Malicieuse et mignonne la menue Mireille musarde et minaude  en menant son Michel par la main au Marché de Montpellier. Lui mâchouille un chewing-gum et macule son maillot mauve tout juste sorti du magasin militaire où il a magouillé pour échanger une machine à malaxer contre la jolie maille de ce maillot.

     

    Après bien des malheurs, il  a réussi à maigrir, mais manger reste un maléfice pour lui. Maçon depuis maintenant plusieurs mois, il essaie de se maintenir sans se maltraiter. Maîtriser ses accès de malbouffe est manifestement malaisé.

     

    Avant de venir ici, Mireille travaillait à la Mairie de Marseille, mais elle avait demandé sa mutation, car les mecs mataient ses miches en permanence et les maquereaux du vieux port l’auraient bien mis à michetonner avec la mère maquerelle, Michelle la méchante et moche mégère qui l’avait repérée.

     

    Manger avec le maire, le voir mâcher ses moules avec des manières bien peu masculines, puis le voir malaxer le pain en mouillant le tout avec sa bave, sentir sa main macérer sur la sienne, puis l’essuyer sur sa marinière. Tout chez ce minable lui donnait une envie furieuse de se magner à obtenir de ce manipulateur le mandat qui la conduirait à Montpellier. Bien qu’elle l’ait malmené, il ne manifesta pas rancune, ne mégota pas sur sa prime de départ et manifesta même à son égard de mansuétude. Manipuler et manœuvrer pour obtenir gain de cause, elle avait appris à ses côtés. Elle sortit du restaurant, rejoignit les marins Marco et Miguel avec qui elle se marra en racontant les mimiques du maire qui la matant  roulait ses mirettes en tous sens.  

     Résultat de recherche d'images pour "belle fille"

     

    Morts de rire, ils lui proposèrent de la rendre maman pour dégoûter tous les mâles en chaleur de Marseille, mais leur dit-elle son cœur n’était qu’au merveilleux Michel.

    Maridan 26/04/2017

    le blog de tous les défis

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  • la plume d'Evy N° 107 Je suis une grande rêveuse

    Et voilà que la bouche du médecin

    délivre la sanction inattendue

    Venue pour un méningiome bénin

    Je repars avec une tumeur mal venue

     

    Le fait sans doute aurait voulu

    Que je me recroqueville vaincue

    Mais ceux qui me connaissent me savent têtue

    J'ai levé mes yeux au ciel et sourit à l'ange venu

     

    Ne t'en fais pas petit père

    Mon heure n'est pas encore venue

    Et il me reste tant à faire

    Comme ces mots posés pour être lus

     

    Car ils sont nombreux mes rêves

    Comme finir l'Odyssée de Belangèle

    Alors je m'accorde une trêve

    pour admirer les merveilles de notre Terre, si belle

     

    Maridan 26/04/2017 18h

    Le blog d'Evy

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  • Liste de mots à utiliser pour rédiger un texte ou un poème de votre choix :

    capable - gâteuse - infaisable - exagérer - parents - intelligent - solution - habitat -visiteur - livraison.

    Merci à celles qui ont répondu à l'atelier N° 7, vous pouvez lire leurs textes sur leurs blogs en cliquant sur leurs noms :

    Vélie

    La fée Capucine

     

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  • Toi ma terre

     

    Toi qui assures ma stabilité

    Toi que de tous temps, j’ai aimé.

    Toi qui as su me redonner

    Le goût de vivre et d’aimer

     

    Toi sur qui je porte mon regard

    A chacun de mes coups de cafard

    Toi qui éloigne le brouillard

    Tu me donnes à nouveau l’espoir

     

    Voir ton ciel qui s’éclaire

    Entendre couler tes rivières

    Naviguer sur tes océans

    Toi, seule au milieu du néant

     

    Toi qui nous donnes à manger

    Toi qui qui sait nous faire rêver

    Toi qui ne réclame jamais rien

    Et pour qui nous sommes des vauriens

     

    Ma chère Gaïa, je t’aime au-delà des mots

    Pour la grandeur de ton monde si beau,

    Pour la fraîcheur de tes bois et forêts

    Que certains veulent raser

     

    Je sens gronder depuis quelques temps ta colère

    Je vois un peu partout se lever l’enfer

    De tes inondations qui lavent tout

    Et laissent les humains à genoux

     

    Mais ce sont toujours les mêmes malheureux

    Qui pâtissent  des désordres des nantis chanceux

    L’homme semble avoir décidé de d’anéantir

    Moi, j’espère partir avant de te voir mourir

     Oeuvre de Siudmak

     

    Maridan 22/04/2017

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  • Je navigue dans les limbes où je me perds à force de douleurs. Attendre en vain une délivrance qui ne vient pas. Obtenir un accord pour une fuite libératrice. Mais notre patrie aime les martyres et se moque bien de soulager les maux. Seul l’appât du gain compte !

     Que faire quand le quotidien est un enfer ?

     Atelier 7  2017

    Liberté… Tu parles ! Certains s’élancent dans la nuit et se jettent du haut d’un pont en un vol ultime. Ils se libèrent tel des oiseaux et se fracassent en une seconde fulgurante. D’autres avalent des barbituriques qu’ils mélangent à de l’alcool pour un shoot ultime qui parfois tourne mal et les laisse emmurés vivants dans u corps immobile  mais qui conserve ses douleurs   doublant leur calvaire de la souffrance de leurs proches qui culpabilisent de n’avoir rien pu empêcher, de n’avoir pas compris.

     La France se prépare à élire son futur président, mais qui choisir quand même les scélérats sont autorisés à se présenter ? Et puis, ils ne vont tout de même pas priver leurs petiots copains de l’industrie pharmaceutique, de la médecine privée, de leurs jolis bénéfices. Car on le sait bien, les nuits d’hôpital rapportent gros et que dire de toute leur chimie qui nous empoisonne ?

     

     La France des lumières est dans l’ombre et le scrutin qui approche me laisse un goût de bile. Je me rêve anarchiste, en haut de barricades pour renverser ces vautours, mais le courage… Je ne l’ai plus. Bien trop lasse !

     

    Egalité des chances disent certains d’entre eux, mais pour qui ? Les nantis… Ou le môme de banlieue au teint trop basané, à la maman voilée, ou en boubou, au papa à la peau noire, jaune ou rouge ? Eux, la fraternité, ils connaissent. Ils la vivent au quotidien et savent bien comment faire pour que cela fonctionne, mais qui leur demande de l’aide ? On te colle des plans quinquennaux qui ne servent à rien qu’à lustrer les images de certains notables. Au cœur des cités des blacks, blancs, beurres ont appris à s’aimer, à partager leur misère. Certains réussissent à s’en échapper pour mieux y revenir et servir d’exemple à ceux qui n’ont pas eu leur chance. Leur sacerdoce n’est pas vain, puisqu’ils tirent derrière eux des mômes avides de réussir, eux aussi. Envers et contre tous les politiques, ils parviennent de plus en plus à générer des vocations.

     

    Nombre de mes relations me disent que mes propos tiennent de l’utopie. Ils ont tort !  

     

    Mon cœur est vaste comme l’univers et j’aime tous les êtres humains quelle que soit leur couleur, leur religion ou leur nationalité. Pour moi, nous sommes tous les enfants de notre monde. .Je garde l’espoir que l’amour que je distribue contribue à tisser une chaîne qui ne rompra pas. Elle survole le dépotoir des idées nauséabondes que diffusent certains de nos élus. Ces aspirants au pouvoir voudraient faire de notre monde une terre de cataclysme, mais je n’ai que faire de leur violence et je sais que nous sommes légions à bâtir cette chaîne de lumière. Nous sommes une multitude à prôner l’amour de l’autre et la tolérance.

     

    Alors dimanche, votez utile, votez pour bâtir et pas pour détruire.

    Maridan 21/04/2017

     

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  • Les textes de l'atelier N°6 :

    Nathie13or :

    http://nathie13or.eklablog.com/pessimiste-anais-a129516338

    Ghislaine :

    http://ghislaine53.eklablog.com/atelier-no-6-chez-maridan-a129449586

     

     Les mots à placer cette semaine :

    liberté, égalité, fraternité, sacerdoce, utopie, vaste,  espoir, dépotoir, monde, violence 

     

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  • http://quaidesrimes.over-blog.com/2017/03/defi-n-des-croqueurs-de-mots184.html

     

    phrase du début :"Je ne sais pas trop par où commencer". Philippe Claudel - Les âmes grises.

    Phrase de fin : "Car c’est la suite de l’histoire qui importait. Et ils étaient d’accord pour l’écrire ensemble. " Guillaume Musso – l’instant présent

    "Je ne sais pas trop par où commencer". 

    Faut-il tout dire en vérité ?

    Je suis bien loin de le penser

    Car chacun a ses propres secrets

     

    Cela a commencé par une histoire d’amour

    Celles qui après vous avoir rendu heureux

    Vous laissent un goût de cendres et le cœur lourd

    Celles qui mettent en vous une douce chaleur

     

    On se croit alors maître du monde

    Les heures deviennent des secondes

    On est emporté comme dans une ronde

    Avant de plonger en des eaux trop profondes

     

    Mais aujourd’hui, après bien des déboires

    Ils ont décidé de renouer avec l’espoir

    Ne plus se laisser abattre à coup d’idées noires

    Ouvrir leurs cœurs et leurs yeux pour tout voir.

     

    Car c’est la suite de l’histoire qui importait

    Pas les aléas nauséabonds du passé

    Ils étaient d’accord pour l’écrire ensemble

     Et à cette belle  idée leurs mains jointes tremblent

     

     

     Maridan 20/04/2017 

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  • Le joli tube de la fée Capucine

    Le thème était l'espoir. J'espère avoir remplis ta mission. Bisous Arlette

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  • Courage mon amie, te voilà face à face avec ce cochon, coupable de couardise. Les coups bas, de ce couard sont nombreux. Mais toi, ma couleuvre, au lieu de rester couchée sous ta couette à couiner, je ne sais pas moi, coupe-lui ses coucougnettes Tu brules ses coussins. Ce couillon mériterait bien quelques coupables vengeances. J’ai quelques idées à te soumettre pour calmer ton courroux :

     Mots en cou chez Ghislaine

    • Tu lui couds les jambes de ses pantalons,
    • Coupe-lui les cheveux pendant qu’il dort,
    • Invite un coupe-jarret à lui péter quelques couronnes.
    • Prépare-lui un court-bouillon infâme. 
    • Laisse ce coureur te faire mille courbettes pour se rattraper. 
    • Instaure un couvre-feu, pour qu’il apprenne la courtoisie, lui qui a coutume de te trahir et qui pour couvrir ses envies de couscous n’hésite pas à couper à travers des coupe-gorge. Sans compter que ce besoin lui a donné un teint couperosé du plus mauvais goût.
    • Enfin, quand tu le sentiras près à couler, couvre le d’injures.
    • Laisse tomber le couperet et jette le dehors à coup de coude, et de coups de pieds et n’oublie pas de lui rendre son couvre lit et les couches culottes de ta nièce que tu auras pris soin de défaire sur son couchage préféré.

     

    Voilà ma couguar préférée, te voici libre de créer un couple plus coulant, que dirais-tu d’oublier la couperose de ce coupe jarret ? Allez bisous ma cousine.

    Maridan 

    Le blog de Ghislaine : http://ghislaine53.eklablog.com/

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  • Ma chère Solène, tu me vois désolé de ne pas soliloquer avec toi. Etre une solliciteuse n’est pas la solution à ta solitude.  Demande moi de faire les soldes avec toi, de t’accompagner à tes cours de solfège, par solidarité, je le ferai. Même si tu le sais mon métier de soliste m’a appris à très bien vivre en solo.

     

    Toi, tu te poses en soldat, tu es devenue solitaire, car tu imposais aux autres la solidarité qui est ton crédo à toi. Je ne vais pas solutionner tous tes problèmes, mais agissant comme tu l’as fait avec tes amis, tu as perdu ta solvabilité. Aucun d’entre eux ne te prêtera un sou pour te sortir de cette mauvaise passe. Je te le dis solennellement et pour la dernière fois. Tu te rêvais à la tête d’une soldatesque luttant contre la misère. Tu n’es plus solvable dans ce rôle.

     

    Moi, je veux juste t’inviter à déguster une bonne sole, après une jolie balade à solex dans notre chère Sologne. Cesse de me solliciter pour un oui ou un non. Je ne suis plus dupe. Je suis le seul ami solide qui te reste. .

     

    Maridan 13/04/2017

     

    Merci à Ghislaine pour cet atemlier passionnant. son blog : http://ghislaine53.eklablog.com/

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  • 1ère partie du texte :

    http://www.maridan-gyres.com/defi-22-de-la-fee-capucine#message_1933396970

    Le ferry vient d’arriver à Olbia. Elle descend avec sa valise et demande à un taxi sur le port de la conduire à la petite maison qu’elle a réservée au bord de la mer. Après dix minutes de route, le chauffeur stoppe au bout d’un chemin cahoteux.

     

    Elle fouille dans son sac et découvre avec angoisse que son portefeuille a disparu. Son émancipation commence mal. Elle rentre dans la maisonnette, ouvre sa valise et sort son chéquier, qu’elle avait pris la précaution de cacher dans le double fond de son bagage. Elle paie le chauffeur et lui demande dans son italien précaire comment déclarer sa perte aux autorités.

     

    Après avoir obtenu ses réponses, elle prend le temps de s’installer confortablement. Puis elle explore la petite maison et découvre qu’il y a deux jolis vélos en parfait état dans le garage. En outre, comme elle a pris une carte de l’île en arrivant, elle découvre les chemins qui bordent la côte et peuvent être empruntés en vélo.

     

    Après avoir réuni le nécessaire, elle décide de partir pour la petite ville d’Olbia. La balade en vélo est jolie. Toutes les routes sont bordées d’une multitude de fleurs odorantes et forment un écrin divin au bord de mer.

     

    Après une petite heure de route, elle arrive enfin au commissariat. Par chance l’un des carabiniers parle français et c’est donc lui qui prend sa déclaration. Avec gentillesse, il lui propose d’utiliser son téléphone. Elle appelle son amie qui lui promet de faire le nécessaire.  

    Renseignement pris auprès du policier, elle découvre qu’elle va pouvoir faire du troc avec les touristes, sous réserve de reverser une taxe à la mairie. En sortant, elle sourit à l’homme qui l’a aidé. A son arrivée, elle trouvait qu’il avait vraiment une sale tronche, mais à présent qu’elle le trouve sympathique elle se reproche cette idée préconçue.

    Atelier 31 chez Ghislaine

    Pendant qu’elle attendait son laisser passer, elle a jeté un coup d’œil sur les affiches des personnes en cavale dans l’île. La secrétaire qui lui délivre ses papiers provisoires lui demande si elle en a vu sur le ferry, mais elle lui répond qu’elle n’a vu que la magnifique citadelle qui se dressait sur lîlot rocheux à l’arrivée au port.

    Ses papiers en poche, elle se rend au village où elle fait quelques courses de première nécessité. Le soleil se couche lorsque elle reprend la route de sa maisonnette. Elle range son vélo dans le garage, range ses courses et enfin ressort admirer l’horizon qui s’est enflammé. Elle a la sensation d’avoir enfin atteint son but. Pour la première fois de sa vie, elle se sent à sa place. Comme si de tout temps, elle avait été prédestinée à ce lieu.

     

    Jusqu’ici, elle a toujours fait semblant d’être celle que l’on attendait d’elle. Plaire aux uns et autres lui avait apporté son lot de désillusions.

    Repue par cet étrange sentiment de bien-être, elle rentre dans la maison et ferme porte et fenêtres. Demain, elle sortira pique-niquer au bord de la mer. L’agent de police lui a parlé d’une jolie plage à une heure de chez elle, et elle a hâte de la découvrir. Elle prépare son déjeuner pour le lendemain et se fait réchauffer une soupe toute prête, car elle n’a pas très faim ce soir. Les émotions lui ont coupé l’appétit.

     

    Après une nuit de repos, elle se réveille en pleine forme. Elle déjeune rapidement et prépare son matériel d’aquarelle, son repas, et deux bouteilles d’eau. Puis elle dépose tout cela dans le panier du vélo.

    Atelier 31 chez Ghislaine

    C’est une agréable journée. Le soleil est déjà haut et elle se régale des paysages qui se succèdent. A un moment, elle voit un panneau qui indique un lac. Et pourquoi pas ! Elle a bien le temps de voir les plages. Ce sera donc une visite au milieu des bois. Après un peu plus d’une heure de route, elle découvre enchantée un paysage idyllique. Elle prend quelques photos, qui lui serviront à terminer son travail à la maison. Puis elle le range dans son sac.

     

    Elle prend son tabouret pliant, prépare sur sa palette les couleurs du paysage qu’elle a sous les yeux, et enfin, elle saisit son pinceau chinois. Rapidement, elle trace les grandes lignes en gris payne. Un peu plus loin sur la droite, il y a un vieux pont romain qui permet de traverser la rivière qui alimente une sorte de piscine naturelle. Demain, elle reviendra peindre l’autre côté du lac. Elle déjeune avec plaisir pendant que ses fonds sèchent. Puis, elle s’allonge et s’endort. Elle s’éveille à seize heures. Il n’y a pas âme qui vive aux alentours. Ravie, elle pose quelques couleurs, trace rapidement les principaux éléments du paysage et une heure plus tard, l’aquarelle est bien avancée. Elle finira chez elle, car il est temps de rentrer.

     

    Sa première journée de liberté a été une magnifique réussite. Elle fixe avec précaution sa feuille sur son support, et range tout son matériel. Elle boit et se remet en route. Il fait bon, un vent agréable balaie son visage. Les odeurs des seringas, des genets se mélangent et l’enchantent. Elle arrive enfin chez elle, fatiguée, mais heureuse comme  elle ne l’a jamais été. La liberté a une saveur qu’elle ne connaissait pas et elle sait qu’elle aime cela.

    Maridan 4/04/2017

     

    Le blog de Ghislaine : http://ghislaine53.eklablog.com/atelier-no-31-du-1-avril-recap-du-no-30-mots-en-sol-a129156958

     

     

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